La fabrication du thé noir de Chine.

En Chine, le thé noir est moins bien représenté que le thé vert, la raison pourrait être liée à son procédé de fabrication plus complexe car totalement oxydé et fermenté d’où la couleur noire des feuilles. Les Chinois l’appellent thé rouge en raison de la couleur de l’infusion et réservent le terme de thé noir aux PuErh Shu ou PuErh cuits, LiangQian, BaiQian, des thés dits post fermentés dont l’infusion a pratiquement la couleur du café.

Le thé QianLiang

Le QianLiang (千两) est un thé traditionnel et rare du comté d’Anhua, produit dans la province côtière chinoise du ZheJian, au sud de la Chine. C’est un thé post-fermenté comme Le Pu’Er mais, il est manufacturé en cylindre d’environ 36 kg excusez du peu puis, découpé en tranches pour sa vente au détail.

La fabrication des Pouchong, les Oolong non torréfiés de Taïwan

Pouchong est la transcription phonétique de 包种, bāo zhǒng. C’est ainsi que l’on nome les WuLong de Taïwan. Les meilleurs sont cultivés entre 800 et 2.500 mètres d’altitude et les plus connus portent le nom de la montagne sur laquelle poussent les théiers : Ali shan et Dong Ding

Fabrication du Pu Er, des théiers à la théière.

Le nom « Pu’Er » également orthographié Pu Erh, Puerh, Pu Ehr ou Puehr est en fait le nom d’une ville chinoise de la province du Yunnan qui fut autre fois très impliquée dans le commerce du thé via la route du « thé et des chevaux ».
Il existe deux type de Pu’Er, les Shú ou Pu’Er cuits qui ressemblent aux thés noirs et les Shēng ou Pu’Er crus qui ressemblent aux thés verts quand ils sont jeunes.

La fabrication des fleurs de thé

Mini œuvre d’art culinaire, une fleur de thé qui s’épanoui dans une théière en verre ne manquera jamais de vous interpeler. La fabrication est obligatoirement manuelle et nécessite un réel savoir faire.

La fabrication des thés verts chinois

La fabrication d’un thé vert se déroule en 5 étapes principales : La cueillette – Le flétrissage – La torréfaction – Le roulage – Le séchage.